Membre de BNI Cannes International, Véronique Langer est fondatrice et dirigeante de LINGUAPOLIS, créée en 2008, spécialisée en formations professionnelles en langues dans les Alpes-Maritimes.
En février 2016, elle est contactée par une cliente potentielle pour des besoins en anglais. Sa problématique ? Basée sur Sophia-Antipolis, celle-ci est en charge de la gestion RH pour le site, mais également pour celui de Paris La Défense. Son objectif étant de trouver un organisme capable de couvrir ses besoins locaux et parisiens. Elle aurait pu s’adresser à un organisme implanté au niveau national voire international, mais elle souhaitait également privilégier la relation de proximité pour un meilleur suivi des stagiaires…
« C’est d’ailleurs pour cela qu’elle m’avait contactée ! Très vite, LA question s’est imposée à moi : comment allais-je répondre à sa demande, moi qui étais une localo-locale ? »
Mais en tant que Membre BNI, la solution lui apparaît très vite comme évidente : BNI Connect va lui sauver la mise !
« Me voici donc à saisir mes critères de recherche, à trier en fonction des profils affichés… Au final, un Membre est ressorti en particulier : Olivia, de BNI Paris Triomphe, avec sa société THE FRENCH TOUCH, LANGUES & CULTURES. J’ai attrapé mon téléphone et le contact est immédiatement passé : nous étions sur la même longueur d’ondes. Même philosophie, même mode de fonctionnement, même code couleur violet ! »
Ensemble, elles montent pas moins de 6 modules d’anglais en 2016. « Ce qui m’a valu un beau MPB de 7000 € de la part d’Olivia ! »
Et le tandem fonctionne à merveille : Olivia prenant en charge la partie pédagogique/suivi formateurs, et Véronique le côté administratif/finances/relations clients. Depuis, Véronique a lancé sur Sophia-Antipolis de nouveaux modules qu’elle n’aurait certainement pas pu réaliser sans son expérience parisienne… et espère bien reconduire cette collaboration intra BNI en 2017 !
« Cette aventure nous également permis de partager nos pratiques et notre mode de fonctionnement sur les réformes et les adaptations nécessaires, mais également de nous échanger des documents qui fonctionnent bien chez l’une ou l’autre, ou qui nous faisaient défaut. Bref, un vrai échange de bons procédés… », conclut Véronique.
Qui doutera après ça de l’efficacité du réseau BNI ?
